Arnaud, ce n’est vraiment pas de bol pour ton pneu ! Je compatis…
Et Stephane, tu peux essayer de mettre des flotteurs comme des petites roulettes à ton VTT !
A mon tour de faire un compte-rendu de notre sortie dominicale, sous un magnifique soleil ! :
Juigné sur Loire dimanche dernier, c’était la rando Loire-Aubance, la 14ème édition. J’arrive à 8h00 sur place, et trouve Philippe sur le parking, il vient de s’inscrire. J’y vais à mon tour, pas de papier à remplir, juste 6 euros à donner (pour 2 ravitos correct, un petit repas à la fin avec soupe à l’oignon, vin chaud, café). Je me prépare en attendant les 3 gars avec qui je devais rouler (le mari d’une collègue, un collègue, et un copain de ce dernier), le rendez-vous étant à 8h15, pour un départ à 8h30. Le dernier tardant à arriver, Philippe est partit devant accompagner des gars d’Anjou Rando VTT à 8h30 passer. Une fois l’équipe au complet, nous pouvons prendre le départ vers 8h45.
Ca commence par les ardoisières, avec un single sur ces monticules de schistes, très ludique pour démarrer. Ensuite, ce fut de large chemin avec quelques zones boueuses (mais rien comparé à ce qui nous attendait à partir du 10ème km), une petite montée techniques avec de nombreuses pierres glissante (mon collègue en a fait les frais), tout ça en mode balade pour moi, mais ça allait suffisamment vite pour mes compères. Arrive alors l’enfer, vers le 10ème km comme annoncé plus tôt. De la boue très collante, dans laquelle on laisse beaucoup d’énergie pour s’extirper. Deux passage d’environ 50m qui étaient des marres de boue liquides d’entre 40 et 50cm de profondeur. Nous entrons alors dans un bois privés, ayant déjà été pal mal labouré par le passage des vététistes nous ayant précédés. Ce fut compliqué, mais c’est passé, avec des descentes dans lesquelles il faut pédaler quand mêmes pour ne pas rester sur place, et des montées dans lesquelles il faut tripler le nombre de coup de pédales pour avancer très peu. On sort de ce bois au 16ème km, pour tomber sur le 1er ravito, au pied du château, avec une magnifique vue sur la vallée de la Loire. Ce ravito est bien garni, avec les produits habituels. Ayant lâché mes collègues de galères boueuses à l’entrée du bois, je les attends. Il arrive un à un. Nous faisons le point pour la suite de l’aventure, sachant que deux d’entre eux hésitaient à faire le grand parcours. Je partirais finalement seul sur le 45km, les 3 autres restant sur le 25km, un peu découragé par le bois.
C’est donc reparti, avec un objectif en tête, rattraper le retard que j’ai sur Philippe. Fini la balade, la course-poursuite est lancée. On a le droit à plusieurs chemin intéressant, mais rendu délicat avec la boue. Je finis d'ailleurs une bonne montée à pied, parce que je n'arrive pas à changer les rapports. Quelques glissades et je finis par rattraper Philippe un peu avant le 29e km. Nous continuerons alors ensemble, jusqu'à retomber à un carrefour qui me dit quelque chose. Nous comprenons alors que nous sommes de nouveaux au 10e km, et que nous allons devoir nous retaper le même enfer qu'au premier tour jusqu'au ravito. Nous décidons de faire abstraction d'une partie du bois, car c'est impossible d'avancer après le double passage des vététistes. Nous arrivons alors au deuxième ravito, où nous retrouvons les gars d'Anjou rando VTT. La pause fait du bien, quelques photos, et nous repartons :
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La fin de la rando ressemble au reste. Nous nous sommes tirer une bourre avec un gars de Gennes aventures sur les quatre derniers kilomètres.
Pas de grosse surprise pour les parcours, qui était quasiment les mêmes que l'année dernière, mais principalement en sens inverse, avec quelques nouveautés.
Heureusement qu'il faisait beau car sinon la matinée n'aurait pas été des plus plaisante. Le soleil a permis de garder le moral.
Je termine avec quasiment 49 km au compteur pour 14,4 de moyenne
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