Nous étions donc le 8 mai, et le 8 mai, c’est la Puyfolaise ! Le rendez-vous était donné à 7h15, pour un départ à 7h30. Je suis le premier sur place, et les autres arrives les uns après les autres. Nous nous retrouvons à 6 d’EVRE Rando : Damien (Dam3), Clément, Coco, Stéphane, Philippe et Moi. De nombreuses têtes connu était également au rendez-vous comme Mickaël, Arnaud (Daburon), Eric (d’Anjou Rando), Jérôme …
La pub est déposée, les inscriptions sont faites pour tout le monde (3€ pour les licenciés et 5 pour les autres), le top départ est donné à l’heure prévue. Et d’entrée, ça commence fort : l’ascension du mont des Alouettes ! Clément et Damien emmènent le groupe à bon train. On tournicote, on grimpe, on descend dans les bois et coteaux jonchant le Mont. C’était très bien, mais costaud pour commencer, on est vite monté en température. On a pu redescendre un peu lorsque la pluie s’est mise à tomber, mais heureusement ça n’a pas duré longtemps. Mais bon, une Puyfolaise sans pluie, est-ce vraiment une Puyfolaise
On arrive alors au premier ravitaillement. On reprend des forces avec les vivres très corrects qui nous sont proposées, et on repart de plus bel. On a le droit à des chemins sympas avant d’arriver à la première boucle nature proposée en option, aux Enfrains, les coteaux se trouvant près du viaduc. Là ce fut vraiment costaud. Les grosses patates s’enchainent. Je passe devant Damien qui posa le pied à terre au pied d’une grosse côte et je fus très surpris de le retrouver devant à nous attendre un peu plus loin après la zone technique. Il a du rater une flèche…
On se lance alors dans une nouvelle ascension, longue, très longue, mais bon ça passe en y allant à son rythme. On débouche sur une route, qui nous permet de récupérer un peu, mais pas Clément, il passe devant et accélère. Peu après, Damien s’y met, avec dans l’idée de le rattraper. Après le passage d’une barrière. Je me lance également dans la poursuite. Dans le bas d’une descente, on tombe sur une séparation de circuit : 35 à droite, 42 à 63 à gauche. Tout le monde à gauche ! (ou presque … mais à ce moment on ne le savait pas). On arrive alors à l’entrée d’un bois, Damien plante ça roue avant dans une ornière, on en profite pour passer devant avec Jérôme. On parcourt ce bois par un single sympa et technique, et à un bon rythme. Nous revoyons en ligne de mir le gars de Vallet et Stéphane (des Déraillés), qui nous avaient doublés dans les Enfrains à un bon rythme. Mais pas de Clément à l’horizon ! On a un gros doute sur le fait qu’il est réussi à les doubler, ou on se dit que si c’est vraiment le cas, il va vite se cramer. On suppose alors qu’il s’est trompé au moment de la bifurcation
. La deuxième supposition fut la bonne, dommage pour toi Clément… On continue notre chemin jusqu’à la prochaine bifurcation. Petite pause/pose Photo :
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On arrive à convaincre Coco de poursuivre avec nous du côté des circuits 58 à 63 km. Ce dernier se plaignait qu’il n’en pouvait plus, mais il roulait quand même au avant poste ! Arrive alors le bois des Jarries !!! Une ascension, et on tombe sur le 2ème ravito. On y est rejoins par les autres, dont les fous du single, à mon avis ils se reconnaitrons. En tout cas, Bravo les Gars ! Ca ne devait pas être facile partout !
On se relance ensuite dans la bataille, on perdra Coco qui n’a pas voulu nous suivre sur le grand circuit, il restera sur le 58km. Dommage pour lui, car ce qui nous attendait dans le bois des Jarries était vraiment très bien : des montées, des descentes, du technique, des singles, Tip Top quoi. On sort du bois en tête avec Damien, et on filera devant, pars des chemins de toutes sortes, jusqu’à se taper une très grosse côte. Même si c’était sur route, elle était vraiment raide ! Elle nous permis d’atteindre un très bon single dans un bois, avant d’arriver au dernier ravito. La fin du parcours fut plus roulante, avec une autre boucle nature en option (sans grand intérêt), puis une redescente sur les Herbiers. Dans les 5 derniers km, Damien, qui n’avait plus trop de jambes depuis un moment, à trouver des forces je ne sais où, pour donner un grand coup d’accélérateur auquel je n’ai pas pu répondre…
On retrouve Coco à l’arriver, qui nous annonce que finalement, étant donné la fin du parcours, qu’il aurait du nous suivre sur le grand parcours.
Un débriefing avec tout le monde autour d’un sandwich et d’une boisson à la fin, et retour à la maison.
On a donc passer une très bonne matinée, quasi sans pluie, pour cette Puyfolaise 2014. A refaire l’année prochaine sans hésiter !
Voici les parcours :
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